Anne est Montpelliéraine depuis onze ans et a toujours vécu autour de Plan Cabanes. Elle est maman d’un enfant de 13 ans, en garde alternée et elle a donc rapidement été confrontée aux problématiques de la carte scolaire.
Elle a été bénévole dans plusieurs associations : distribution de repas pour les personne sans-abri, soutien scolaire pour des élèves déscolarisé·es, cours de Français Langue Étrangère à des mineur·es non accompagné·es.
Né à Montpellier, j'ai grandi à la Paillade. Pour moi, la banlieue, c'est le cœur de la politisation et le cœur de mon engagement : c'est ma boussole politique.
Mon mantra pourrait ressembler à quelque chose comme ça : ne jamais se résigner, dénoncer les injustices, œuvrer pour un lendemain meilleur. J’essaye au maximum d’appliquer cette philosophie autant dans mon métier d’éducateur spécialisé que dans mes romans.
En tant qu'élue mais aussi dorénavant parent dans le quartier de Figuerolles, je vois chaque jour combien la ségrégation scolaire abîme nos enfants et fragilise la cohésion.
Avec Cause Commune nous ne détournerons plus le regard : aucune école de Montpellier ne doit être une école de relégation. Nous l'affirmons : la fuite vers le privé n'est pas inéluctable.
Ingénieur agronome de formation, j’ai d’abord été politisé par les Marches pour le Climat puis par le mouvement des Gilets Jaunes.
Ces deux causes m'ont appris à faire le lien entre fin du monde et fin du mois, et ça c'est tout de suite une autre lecture du monde et de l'écologie.
Cette lecture du monde elle tient finalement dans une lutte centrale, celle contre les inégalités et ceux qui les cultivent.




